/hrp Voici l'histoire de mon 1er rerol sur ce server, Maguin, je m'essaye à l'art de l'écriture d'un background, bien que Tiberias en ait un complet lui aussi mais que je n'ai pas encore eu le courage de l'écrire, je compte donc sur votre indulgence.
/rp
Je me souviens...en ce temps là j'avais un véritable nom...Pike, me semble-t-il, Pike Bishop...Je suis né à Gilneas, ce fier royaume qui ne reconnût jamais l'alliance, d'aussi loin que je me souviens je n'ai jamais eu de parents... Bien que j'étais extrèmement fier de mon royaume, je passais l'intégralité de mon temps entre Southshore et Brill, en Lordaeron.
J'étais ce qu'on peut appeler un brigand, un meurtrier, un coupe jaret... Les adjectifs ne manquent pas. J'étais le chef d'une bande, nous nous attaquions aux convois d'or, de marchandises, de nourriture, nous tuions quand cela était necessaire. Mais tout brigand que nous étions, nous avions des règles: nous ne tuions ni femme, ni enfants, ni prêtre et nous ne nous attaquions pas aux lieus sacrés...A part ce "code" nous ne respections rien et nous nous ventions de "ne courber la tête devant personne".
Et pourtant j'ai courbé la tête devant une personne...celle que j'aimais...Margareth...la plus belle et douce femme que Azeroth est porté...Elle vivait dans une petite maison au nord du mur de Greymane avec son frère, un jeune hors-la-loi de ma bande, William. Je lui rendais visite autant que possible, et tres vite nous nous sommes aimés tendrement...Jamais je ne m'aurai été cru capable de cela.
Les années passèrent, nos rapines continuèrent, et les soldats de l'alliance nous cherchaient en vain. Le terre était notre alliée , notre protectrice, nous savions nous dissimuler en elle, et elle ne nous trahissait jamais. Quand un jour, le fléau arriva, nous cessâmes nos activités, et la terre nous cacha à nouveau, puis les réprouvés arrivèrent,
et nous décidâmes de reprendre nos activités, la "Dame noire" nous la mérprisions, et nous étions bien décidés à continuer de piller les convois de la region, peu importe leur appartenance...
Un jour ou la bande devait se réunir à la maison de Margareth, nous avons trouvé la maison eventrée...Margareth baignait dans son sang à l'interieur, les réprouvés était passés par là. Je pu receuillir les dernieres parole du seul être que j'ai jamais aimé, et qui m'a jamais aimé:
"Pike...mon amour...ils ont pris william...amené à Brill...retrouve mon petit frère, je t'aime, je n'ai jamais aimé que toi..."
L'amour de ma vie m'avait été enlevé, je hurlai de douleur...apres avoir creusé une sepulture à Margareth, je m'écroulai en larmes devant sa dernière demeure...Puis apres avoir pleuré toutes les larmes de mon corps, mon esprit s'éclaircit, je n'avais plus qu'un seul désir: récupérer William peu importe le prix, c'était la dernière chose qu'il me restait d'elle.
Je portais un rapide coup d'oeil à mes compagnons et leur dis "allons-y" cette seule parole leur suffit; nous chargeames nos fusils, nos arbalètes, nous prîmes nos dagues et nous nous dirigeâmes à pied vers Brill.
Nous ne cherchions plus à nous cacher, nous n'en avions plus le désir,
nous voulions seulement nous battre face à face avec eux et mourrir comme des hommes.
Nous sommes arrivés en pleine place centrale de Brill sans rencontrer la moindre patrouille. Là-bas nous vïmes un spectacle odieux: William au sol attaché par une corde à la selle d'un cheval squelette qui faisait le tour de Brill au galop, raclant l'infortuné jeune homme contre le sol, sous les acclamations hystériques d'une centaine de réprouvé massés la. Nous avancâmes au centre du village, et le silence se fit rapidement, celui qui semblait être le chef nous demanda d'une voix caverneuse:
- que voulez vous ?
- nous voulons William repondis-je
Sa bouche immonde se fendit d'un large sourire:
- tres bien repondit-il
il dégainât un couteau et coupa la corde qui reliait William au cheval, tenant le jeune homme par le dos il s'exclama:
- alors prenez le !
Alors qu'il disait cela, il égorgea William d'un coup net, notre réaction fut immédiate: nous levâmes nos armes et nous ouvrîmes le feu, le réprouvé fut percé de quatre carreaux d'arbalêtes et de trois énormes plombs en plein ventre. Il s'écroula: mort une seconde fois.
Nous étions cinq face à une centaine ,et pourtant ils étaient comme surpris par l'attaque , nous aurions pu nous enfuir...Mais quelque chose en nous nous intîmait l'ordre de rester ici et de finir dans un ultime bain de sang, en un regard nous étions d'accord, et nous nous ruâmes sur les réprouvés. Un combat d'un quart d'heure s'en suivit, mes compagnons furent abbatus apres avoir abattu un nombre incalculabe de réprouvés, Brill n'était plus qu'un vaste cimetère, je fus touché à de nombreuses reprises, on me prit pour mort et les réprouvés "survivants" me jettèrent dans une fosse commune. Je cru que j'allais rejoindre ma bien aimé, mais une volonté ,inexplicable sur le moment, me poussa a survivre, surement le contact de cette terre qui m'a tant donné.
Plus tard je compris que la terre n'avait été que l'instrument de ce qui me faisait vivre à présent, la vengeance...Sylvanas paira pour m'avoir pris la seul être que j'ai jamais aimé ! Je me servirai de la terre comme instrument de ma vengeance, autant que mon bras ou mon épée. Je me nomme à présent Maguin ce qui dans la langue de Gilneas signifie: vengeance...
Sujet: Maguin...la terre est ma force 
Sam 10 Juin - 15:37
